Sur le terrain, chaque polygone de végétation à étudier fait l’objet d’au moins une prospection sous la forme d’un aller-retour en diagonale. Tous les types de végétations sont relevés (slikke, schorre mais aussi milieux aquatiques et amphibies (mares et filandres), roselières, etc.) et toutes les végétations (phytocénoses) couvrant plus de 5% de la surface du polygone sont notées. Pour chaque végétation, la présence de surpâturage est relevée en cas d'observation d'une végétation broutée très rase.

Sur le terrain, chaque polygone de végétation à étudier fait l’objet d’au moins une prospection sous la forme d’un aller-retour en diagonale. Tous les types de végétations sont relevés (slikke, schorre mais aussi milieux aquatiques et amphibies (mares et filandres), roselières, etc.) et toutes les végétations (phytocénoses) couvrant plus de 5% de la surface du polygone sont notées. Pour chaque végétation, la présence d'espèces envahissantes est notée si ces dernières occupent plus de 10 % de la surface couverte par la végétation au sein du polygone.

Sur le terrain, chaque polygone de végétation à étudier fait l’objet d’au moins une prospection sous la forme d’un aller-retour en diagonale. Tous les types de végétations sont relevés (slikke, schorre mais aussi milieux aquatiques et amphibies (mares et filandres), roselières, etc.) et toutes les végétations (phytocénoses) couvrant plus de 5% de la surface du polygone sont notées. Pour chaque végétation, les différents états / stades / phases (juvénile, mature, sénescente) sont relevés.

Sur le terrain, chaque polygone de végétation à étudier fait l’objet d’au moins une prospection sous la forme d’un aller-retour en diagonale. Tous les types de végétations sont relevés (slikke, schorre mais aussi milieux aquatiques et amphibies (mares et filandres), roselières, etc.) et toutes les végétations (phytocénoses) couvrant plus de 5% de la surface du polygone sont notées. Pour chaque végétation, la présence d'espèces compagnes positive est noté si plus de 50 % des espèces compagnes identifiées pour la végétation sont effectivement présentes et observées lors du relevé terrain.

Sur le terrain, chaque polygone de végétation à étudier fait l’objet d’au moins une prospection sous la forme d’un aller-retour en diagonale. Tous les types de végétations sont relevés (slikke, schorre mais aussi milieux aquatiques et amphibies (mares et filandres), roselières, etc.) et toutes les végétations (phytocénoses) couvrant plus de 5% de la surface du polygone sont notées. Pour chaque végétation, l'extension spatiale au sein du polygone est caractérisée selon deux modalités : "extension spatiale remarquable" (présence d’une végétation non morcelée, bien développée spatialement) ou "fragmentation" (présence d’une végétation morcelée, fragmentée)

Sur le terrain, chaque polygone de végétation à étudier fait l’objet d’au moins une prospection sous la forme d’un aller-retour en diagonale. Tous les types de végétations sont relevés (slikke, schorre mais aussi milieux aquatiques et amphibies (mares et filandres), roselières, etc.) et toutes les végétations (phytocénoses) couvrant plus de 5% de la surface du polygone sont notées. Pour chaque végétation, la valeur indicatrice est relevée (à partir de la table éditée par le CBN Bailleul pour la région des Hauts de France).

Sur le terrain, chaque polygone de végétation à étudier fait l’objet d’au moins une prospection sous la forme d’un aller-retour en diagonale. Tous les types de végétations sont relevés (slikke, schorre mais aussi milieux aquatiques et amphibies (mares et filandres), roselières, etc.) et toutes les végétations (phytocénoses) couvrant plus de 5% de la surface du polygone sont notées. Pour chaque végétation, le taux de recouvrement au sein de chaque polygone est relevé